LE TEMPS PASSE TRES VITE - VICTORIA NEHALE, LA NAMIBIENNE QUI A VU L'ENFER ET LE CIEL LE TRONE

Ceci est un court résumé du témoignage de Victoria Nehale. Pour l'avoir entièrement lu, je peux vous certifier que manquer de le lire pourrait équivaloir à manquer un virage important de votre vie. Certains en rirons. Comme ils le font de tout ce qui est relatif à la foi. Mais pour une fois, demeurez sérieux et lisez-moi ce récit. Que DIEU vous éclaire et qu'il illumine votre intelligence. Bonne lecture! Je suis née en Namibie où j'ai vécu toute ma vie et j'ai donnée ma vie au Seigneur, le 6 Février 2005. Le Seigneur Jésus-Christ m'a révélé beaucoup de choses du monde spirituel parmi lesquelles deux voyages en enfer. Le Seigneur m'a commandé de partager mes expériences avec les gens ; Il m'a aussi avertie de ne rien ajouter ou de ne rien retirer de ce qu'Il m'a montré ou dit. Au moment où je suis en train d'écrire ce livre, fin 2006, j'ai été visité 33 fois par le Seigneur Jésus-Christ. A chaque visitation, le Seigneur me disait ceci, avant de me laisser: « Le temps passe très vite ! ». Le premier voyage en enfer Le 23 Juillet 2005, un jour de week-end, je pris un taxi pour un voyage de trente minutes de la ville de Ondangwa, où j'habite et travaille, pour aller dans mon village natal pour passer le week-end avec mes parents. Pendant que j'y allais, j'ai eu l'impression que quelque chose d'extraordinaire était en train de se passer cette nuit-là.
 
Je suis arrivé à 18 H 00 et c'était le temps où les gens de la maison préparaient à manger. J'étais dans la cuisine avec le reste des membres de ma famille qui dormaient sur le sol avec un vieux drap alors que mes nièces et mes neveux chantaient des chansons de l'école du dimanche. Soudain, j'ai senti une lourde onction venir sur mon corps et je devins très faible, j'étais sous la puissance de Dieu. Je vis un homme habillé d'une robe blanche attachée d'une corde de la même couleur; Il se mit à marcher vers moi, là où j'étais couchée. Il y avait une lumière brillante autour de lui comme si cette lumière brillait à partir de son corps. Il avait des sandales ; Ses traits physiques étaient semblables à ceux qui vivent au Moyen-Orient, avec un beau teint bronzé. Son visage était très doux et plein de gloire mais j'étais incapable de le regarder dans les yeux.
 
Quand il commença à parler, Sa voix était tendre, douce et aimable, toutefois autoritaire ; des vagues d'amour émanaient de son être. Il étendit Sa main vers moi et me mit debout, de là où j'étais endormie. Soudain, j'étais dans un corps magnifique et transformé ; j'étais comme une jeune fille de dix-huit ans. J'étais habillée d'une robe blanche amarrée d'une corde blanche. Quoique ma robe fût blanche, le matériel était différent de celui de l'homme à côté de moi. Sa robe était soyeuse, avec un éclat que je ne sais comment vous décrire. Il me dit, avec sa voix la plus aimable et tendre: « Victoria, je veux que tu viennes avec moi ; je vais te montrer des choses effrayantes, je t'emmène à un endroit où tu n'as jamais été avant, durant toute ta vie ». Il m'a tenu par la main droite et nous sommes partis. Je sentis comme si nous étions en train de marcher dans les airs et nous étions en train de monter dans les airs, tout le temps. Après un certain temps, je me suis sentie très fatiguée ; je Lui dis que j'étais incapable de continuer le voyage et Le supplia de m'accorder de retourner. Cependant, Il me regarda tendrement et me dit : « Tu n'es pas fatiguée, tu te sens bien. Si tu te sens fatiguée, je vais te porter mais pour l'instant, tu vas bien. La paix soit avec toi. Allons-y ! ». L'endroit dans lequel je suis arrivée était très aride, pire que le plus sec des déserts connus de l'homme. Il n'y avait aucun signe de vie de quelque façon. Il n'y avait pas un seul arbre ou une seule petite pousse d'herbe verte ou la vue d'une seule chose vivante.
 
C'était un endroit absolument déprimant. Nous sommes arrivés à une entrée et l'homme se tourna vers moi et me dit: « Victoria, nous allons entrez par le portail et les choses que tu vas voir vont te faire très peur et te déranger mais reste rassurée que je suis avec toi partout où je t'emmène et je te protège très bien. Ouvre seulement tes yeux et observe tout ce que je vais te montrer ». J'étais terrifiée et je commençais à pleurer. Je protestais et je plaidais pour qu'Il me ramène. Je Lui dis que je ne voulais pas y entrer parce que je pouvais déjà voir ce qui se passait à l'intérieur. Il me regarda et me dit: « La paix soit avec toi. Nous devons allez à l'intérieur, car le temps s'en va très vite ». Nous y sommes entrés. Je ne peux pas vous décrire l'horreur de cet endroit. Je suis convaincu qu'il n'y a pas d'autre endroit aussi mauvais que celui-là, dans tout l'univers. L'endroit était extrêmement vaste et il semble que cet endroit ne cessait de s'étendre tout le temps. C'était un endroit où régnaient les ténèbres les plus extrêmes et la chaleur qui y est ne peut être mesurée : c'était plus chaud que la plus grande des chaleurs imaginable. Je ne pouvais pas voir la flamme du feu ou la source de la chaleur mais c'était très chaud. L'endroit était rempli d'insectes de toutes les tailles, verts, gris et noirs. Tous les insectes concevables y étaient. En plus, il y avait des vers de petites tailles, noirs, de tous les cotés et qui grimpaient partout.
Ces vers commençaient à grimper sur nous. L'endroit était rempli d'une odeur nauséabonde des plus désagréables ; en fait, il n'y a pas de mots pour décrire l'intensité de cette odeur, si puante dans ce lieu.
Cette odeur était comme de la chair cuite mais était cent fois plus désagréable que la chair la plus pourrie que je n'ai jamais respiré de toute ma vie.
Cet endroit était rempli d'un bruit de gémissements et de grincements de dents, et aussi de rires diaboliques de démons. Le pire dans ce lieu est que c'était rempli de gens. Il y avait tant de gens qu'on ne peut les compter.
 
Là-bas, les gens se présentent sous la forme de squelette. Je peux dire avec certitude que ces squelettes étaient des humains parce que j'ai reconnu certains de mes proches parents et des gens de mon propre village. Leurs os étaient d'une couleur sombre et extrêmement sec. Ils avaient de longues dents aiguisées comme ceux des animaux sauvages. Leurs bouches étaient larges et étendues et leurs langues, longues et rouge-claires. Leurs mains et leurs pieds avaient de longs doigts et de longs orteils tranchants. Certains d'entre eux avaient des habits et des cornes. Il y avait des démons qui mélangeaient les hommes les uns sur les autres : ces démons avaient l'apparence des alligators et ils étaient debout sur quatre pieds. Ils étaient à l'aise dans cet environnement et étaient constamment en train de se moquer et de tourmenter les humains. Le bruit que ces démons faisaient était comme une célébration, on aurait dit qu'ils se sentaient très heureux et très contents ; ils étaient aussi en train de danser et de sauter tout le temps.
 
Les humains de leur côté étaient misérables et déprimés. Ils étaient sans aide et sans espoir. Le bruit que faisaient les humains était causé par leur souffrance ; ils pleuraient, criaient, grinçaient leurs dents et étaient dans une situation désespérée, dans la peine et dans une agonie inimaginables. Les gens, dans cet endroit, étaient innombrables mais je pouvais clairement voir que la grande majorité d'entre eux étaient des femmes. Ils étaient divisés en plusieurs groupes différents. Même dans ces groupes, il n'était pas possible d'estimer le nombre de gens dans un seul, parce que ces groupes étaient extrêmement larges. L'homme (Jésus) me conduisit à un côté de l'enfer. Il me regarda et me dit : « Victoria, ceci est un groupe de gens qui refusaient de pardonner aux autres. Je leur ai dit plusieurs fois et de plusieurs manières de pardonner aux autres mais ils me rejetèrent; je leur ai pardonné tous leurs péchés.
 
Leur temps de mourir était arrivé et ils se retrouvèrent ici. Ils y seront pour toute l'éternité; ils mangent les fruits de leur travail pour toujours et à jamais. Cependant, il m'est pénible de les voir dans cet horrible endroit et dans cette situation parce que je les aime ». Ensuite, Il m'emmenât vers un autre groupe et l'homme me dit que les gens du second groupe sont ceux qui ont des dettes. Il y avait des catégories différentes dans ce groupe. La première catégorie est celle des gens qui devaient aux autres : ils pouvaient payer mais ils continuaient à remettre au lendemain le paiement de leur dû. Ils se promettaient de payer demain, la semaine prochaine, l'année prochaine jusqu'à ce qu'ils se soient retrouvés ici. C'est ici qu'ils vont rester pour toujours, ils mangent les fruits de leurs oeuvres. La seconde catégorie est celle des gens qui avaient des dettes qu'ils ne pouvaient pas payer mais avaient la volonté de payer.
 
Malheureusement, ils avaient peur des conséquences parce que, peut-être que s'ils disaient la vérité, ils auraient souffert le rejet des hommes ou bien ils auraient été jetés en prison ou bien ce qu'ils ont fait allait être connu des autres et ils se seraient sentis humiliés. L'homme me dit : « Personne d'entre eux n'est venu à moi pour me demander de les aider. S'ils l'avaient fait, je les aurais aidés. Ils utilisèrent leur propre sagesse et leur propre raisonnement qui, à la fin, ne les aidèrent pas du tout. Leur temps était arrivé et ils se sont retrouvés ici, pour toujours. Ils mangent le fruit de leurs oeuvres. » Ensuite, il me dit: « La troisième catégorie est celle des gens qui ont des dettes qu'ils ne pouvaient pas payer mais pour eux aussi personne ne vint vers moi pour me dire qu'ils avaient des dettes qu'ils ne pouvaient pas payer.
 
S'ils l'avaient fait, j'aurais payé leurs dettes. Comme les autres, ils utilisèrent aussi leur sagesse et leur raisonnement qui ne les aidèrent pas du tout. Maintenant, ils se retrouvent dans ce lieu de tourment où ils mangent le fruit de leurs oeuvres. Mon coeur est dans la douleur pour ces gens car je les aime si tendrement ». Dans le premier groupe, j'ai reconnu deux de mes proches parents qui sont des femmes et un jeune homme âgé de douze ans qui était aussi un de mes parents. Je savais qu'il avait douze ans parce que c'était son âge quand il est mort. Dans le deuxième groupe, j'ai aussi reconnu quelques-uns de mes parents et un pasteur que je connaissais très bien. Jakes, mon petit ami qui s'était suicidé quand il a appris que j'avais donné ma vie au Seigneur, était dans le second groupe. J'ai aussi vu quelques-uns de mes voisins dans les deux groupes. J'ai reconnu les gens que je connaissais avant leur décès ; eux aussi me reconnurent.
Mes parents étaient très en colère quand ils me virent et ils commencèrent à me dire des choses obscènes ; ils étaient en train d'utiliser le langage le plus vulgaire, en même temps qu'ils me maudissaient. L'un d'entre eux me dit que je ne méritais pas d'être avec l'homme qui était avec moi ; ils commencèrent à raconter les choses que je faisais avant que je ne donne ma vie au Seigneur. Ils n'étaient pas en train de mentir; les choses pour lesquelles ils m'accusaient étaient vraies. Jakes disait que je lui appartenais et que je devais normalement être là-bas avec lui parce que j'avais commis les mêmes péchés que lui.
 
A première vue, le pasteur semblait être content de me voir et il me dit que j'avais bien fait d'arriver là-bas mais son attitude changea immédiatement quand il vit celui qui m'accompagnait et il se joignit aux autres qui me maudissaient et usaient de paroles obscènes. L'homme avec qui j'étais me dit de ne pas faire attention à eux car ils ne savaient pas ce qu'ils faisaient. J'étais pétrifié et extrêmement triste ; mon corps tremblait et je ne pouvais pas me tenir debout. Je pleurais de façon incontrôlable. L'homme se tourna vers moi, me serra dans ses bras et dit: « La paix soit avec toi, Victoria ! ». Ma force me revint et je me sentis en sécurité dans son étreinte. Ensuite, Il me dit que nous devions retourner. Il me regarda et me dit: « Victoria, voilà, je t'ai tout révélé. Maintenant, tu dois choisir dans quel groupe tu veux être; le choix est entre tes mains.
 
Tu dois dire aux gens tout ce que tu as vu et expérimenté mais n'ajoute rien et ne retire rien. » Je me souviens qu'à un moment donné, nous avions quitté cet endroit d'horreurs mais je ne savais pas où je m'étais séparée de Lui ; alors je repris conscience : j'ouvris mes yeux et je me retrouvai dans un hôpital, dans mon corps physique. J'occupais un des lits de l'hôpital Oshakati. Il y avait une perfusion sur mon bras gauche et je vis ma mère et d'autres voisins de mon village au coin de la chambre où ils me regardaient avec étonnement. Je pouvais dire en regardant le visage de ma mère qu'elle avait pleuré. Je demandais à l'une des infirmières si elle savait ce qui n'allait pas avec moi mais elle se mit à plaisanter avec moi en disant: « On t'a renvoyée ici, peut-être que tu as fais quelque chose de mal et tu as besoin de te repentir. » L'infirmière essayait sommairement de m'expliquer ma condition mais je voyais bien qu'elle était effrayée de s'approcher de moi. Je lui ai alors demandé d'appeler le docteur qui s'occupait de moi.
 
Quand il vint, il me dit qu'il ne savait pas ce qui n'allait pas avec moi. Au début, il pensait que j'avais contracté le paludisme mais les résultats étaient négatifs. Il continua à me dire que ma température, mon pouls et ma pression sanguine étaient dangereusement bas mais il ne pouvait pas trouver la cause de cela. Il ajouta qu'il n'y avait rien qu'il puisse faire, il ne pouvait pas m'enregistrer avec les autres malades parce que je n'étais pas malade. La perfusion qui m'avait été donné ne fonctionnait pas bien au début mais quand j'ai ouvert mes yeux, ça marchait. Il recommanda à l'infirmière de m'administrer une autre perfusion après que la première soit finie afin que je retrouve mes forces et que je rentre chez moi. J'avais peur de ce que je voyais et je ne pouvais pas m'arrêter de pleurer. La nausée de cet horrible endroit continuait à être aussi réelle que quand j'y étais. Les scènes de cet endroit continuaient à apparaître dans ma mémoire tout le temps. J'étais incapable de dormir et tout mon corps était en grande peine. Je senti comme si toutes les parties de mon corps se démembraient et se rassemblaient à nouveau. Oh! Qu'est-ce que je me sentais mal, très mal. J'ai eu de la diarrhée pendant une semaine entière. Je me suis fait l'idée que je ne pourrais pas parler de mes expériences à qui que se soit parce que qui pourrait me croire ?
Qu'est-ce que les gens penseraient ?
Je continuais à me dire que je ne relaterais pas mes expériences à quiconque. Un de mes mentors me donna un coup de fil trois jours plus tard pour prendre des nouvelles de ma santé parce que je lui avais envoyé un message dans lequel je lui demandais de prier pour moi. Avant même que je ne le sache, je lui avais parlé de mes expériences. Quand je réalisais ce que je faisais, je lui avais déjà parlé de presque toute mon histoire. Je voulais m'enfuir. Je pleurais parce que j'étais convaincu que j'avais fait la plus grande erreur de ma vie.
 
Maintenant que l'histoire était racontée, il n'y avait pas de possibilité de pouvoir me cacher. Je savais que si Dieu voulait que quelque chose soit dit, Il l'aurait dit ; après tout, Il est Dieu. Le 19 Août, je me suis réveillé en sentant des signes d'onction dans mon corps physique. J'étais faible et je tremblais pendant que des vagues d'électricité traversaient tout mon corps. Dans la soirée, je vis une lumière brillante venant dans la chambre où j'étais et au beau milieu de cette lumière, je vis un homme, le même homme que j'avais vu. Cette fois, Il s'assit sur la chaise qui était à côté de mon lit. Je ne sais d'où venait cette chaise mais elle y était lorsqu'Il est entré. C'était une belle chaise faite d'or solide, la taille de cette chaise était comme celle des autres chaises, avec un support dorsal. Sur chaque pied, il y avait une étoile enduite d'or; la même étoile était au centre du support dorsal de la chaise. Il y avait des roues blanches sur chaque pied. Après m'avoir salué, Il me dit que j'avais beaucoup de questions à propos de Son identité et qu'Il était venu se révéler Lui-même à moi et m'expliquer certaines choses que j'avais expérimentées. Il me dit: « Je suis Jésus-Christ, ton sauveur. Si tu as des doutes, regarde mes mains. L'endroit où nous sommes allés est l'Enfer ».
 
Quand je regardais à ses mains, je vis des cicatrices là où les clous l'avaient percé. Cher(e) ami(e), je veux te dire que l'enfer n'est pas une imagination fabriquée par un homme. Il est bel et bien réel et c'est un lieu absolument désagréable. L'enfer n'est pas créé pour les hommes mais pour Satan et ses démons. Notre place légitime est dans les cieux avec Jésus mais nous devons choisir Jésus avant qu'il ne soit trop tard. Aujourd'hui, si tu entends sa voix n'endurcis pas ton coeur; accepte Jésus comme ton Seigneur et Sauveur personnel afin de vivre pour Lui.
L'enfer est un endroit terrible: c'est un endroit de crainte et d'apitoiement; c'est un lieu de tourment, d'éternels pleurs et de grincements de dents. Satan veut emmener autant de personnes que possible avec lui. Ne coopérez pas avec lui mais coopérez avec Jésus alors vous vivrez, vous ne mourrez pas. Je ne comprenais pas pourquoi le Seigneur me demandait de choisir entre les deux groupes qu'il m'avait montrés en enfer alors que j'étais déjà née de nouveau. J'avais accepté Jésus mais Il m'avait quand même demandé de choisir si je voulais aller en enfer ou non. Alors, je me mis à prier et demander à Dieu de me révéler ce qu'il attendait de moi et voulait que je fasse.
 
Le Seigneur me révéla que je gardais dans mon coeur le manque de pardon et le ressentiment envers une de mes soeurs et un de mes cousins. Je demandais au Seigneur de me pardonner pour mon esprit de manque de pardon et pour avoir gardé de la colère et de l'amertume dans mon coeur envers elle. Le Seigneur me demanda d'aller et de demander pardon à mon cousin. Le seigneur me rappela aussi qu'il fut un temps où j'avais fait la demande d'un emploi en tant qu'enseignante avec un faux diplôme. Il considérait cela comme étant une dette et un vol. J'étais déterminé à faire ce qui est juste et droit et je demandais l'aide du Seigneur et de me montrer un moyen facile pour résoudre ce problème parce que c'était un crime sérieux qui aurait pu m'envoyer derrière les barreaux (la prison). Il me dirigea vers le ministère de l'éducation nationale pour confesser ce que j'avais fait. J'étais prête à aller en prison si cela n'était pas évitable.
Le Seigneur me montra sa faveur d'une manière étonnante. Les officiels du ministère de l'éducation me dirent que je devais choisir entre rembourser l'argent que j'avais reçu du gouvernement ou non. Ils me promirent de ne pas me poursuivre en justice parce qu'ils étaient stupéfaits par ma confession. Notre Dieu est un Dieu fidèle qui honore Sa parole. Si vous êtes dans une situation similaire à celle dans laquelle j'étais, je vous encourage à faire ce qui est correct à faire, n'ayez pas peur des conséquences. Vous serez peut-être incarcérés dans une prison terrestre mais pour un petit temps. Il n'y a pas de douleur et de honte comparable à une éternité séparée de Dieu. L'enfer n'est pas un endroit de joie: il est mieux de laisser le soin à Dieu de vous juger maintenant avant qu'il ne soit trop tard. Nous ne devons pas avoir peur du jugement de Dieu pendant que nous sommes dans le temps de la grâce: nous devons Lui accorder d'exposer n'importe quels défauts de nos vies pendant que nous avons encore le temps de le faire avec Lui parce qu'il n'y a pas de pardon de l'autre côté de la tombe.
 
Le second voyage en enfer Le 18 Octobre 2005, je me suis réveillé à 05 H 30 mais je ne pouvais pas aller au travail. Je me sentais très faible et ivre; je ne pouvais pas bouger ou tourner autour de mon lit et la présence du Seigneur était très forte dans la chambre. Je tremblais et je sentais de l'électricité circuler autour de mon corps. Le Seigneur me prit juste avant 08 H 00 parce que la dernière fois que j'avais regardé à ma montre avant de partir, il était 07 H 48 et Il arriva peu après cela. Il me salua et me dit que nous devions encore partir parce que le temps s'en allait très vite. Je me suis levée et nous avons commencé à marcher. La manière avec laquelle nous nous sommes mis à marcher ce jour-là était très différente de celle des autres fois; toutefois, nos pieds faisaient des mouvements de marche, nous étions en quelque sorte plus en train de flotter que de marcher. Pendant la marche, le Seigneur Jésus me dit que tous les péchés sont mauvais et qu'il n'y a rien qui soit petit ou grand péché. Tout péché mène à la mort, que ça soit un grand ou un petit péché. Le seigneur me dit que nous étions en route pour visiter l'enfer pour la deuxième fois. Il me demanda si j'étais effrayée, je lui répondis que oui. Il me dit: « L'Esprit de crainte ne vient pas de mon père ni ne vient de moi mais du diable. La crainte t'entraîne à faire des choses qui vont t'envoyer en enfer. » Sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu et la peur est l'opposé direct de la foi. Il est évident que la crainte ne plaît pas à Dieu parce qu'elle détruit la foi.
 
Tout le temps que nous étions en chemin, nous marchions côte à côte mais dès que nous sommes arrivés aux portes de l'enfer, Il a pris ma main dans la Sienne et Il la garda, chaque seconde que nous avons passée en enfer. J'étais très contente de ce que le Seigneur me tienne par la main car la poignée de sa main élimina toute crainte en moi. L'endroit était le même: rien n'était différent de la première fois. Il y avait des mouches, des vers, l'odeur, les squelettes, le bruit: c'était tout à fait la même chose que quand j'y suis allé pour la première fois. Nous sommes entrés dans la même entrée répugnante et le Seigneur m'a emmenée vers un groupe de gens. Il y avait beaucoup de gens que je connaissais quand ils étaient encore en vie sur terre. Ses pauvres gens étaient dans un état terrible; ils étaient vraiment misérable et en grande agonie mais le pire d'entre tout était le désespoir qui était sur leurs visages. Le Seigneur pointa son doigt vers une femme âgée de la cinquantaine que j'avais connu avant sa mort. Elle mourut d'un accident de voiture, au début de l'année 2005.
 
J'étais choquée de voir cette femme en enfer parce que je la connaissais comme étant une femme qui craignait et aimait Dieu. Le Seigneur me dit que cette femme l'aimait et qu'Il l'aimait aussi; elle l'avait servi lorsqu'elle était sur la terre; elle avait conduit beaucoup de personnes au Seigneur et elle connaissait très bien la parole de Dieu. Elle était gentille avec le pauvre et les personnes en besoin; elle leur donnait ce dont ils avaient besoin et les aidait de plusieurs manières. Elle était une bonne servante du Seigneur dans la plupart des choses qu'elle faisait. Ces paroles du Seigneur me choquèrent encore plus et je Lui demandais pourquoi Il laisserait quelqu'un qui L'avait servi si bien terminer sa vie en enfer. Le Seigneur me regarda et me dit que cette femme avait cru les tromperies du diable.
Quoique connaissant très bien les Ecritures, elle crut les mensonges du diable qu'il y a de grands péchés et de petits péchés. Elle pensait qu'un « petit péché » ne la conduirait pas en enfer parce que, après tout, elle était chrétienne. Le Seigneur continua en disant: « Je suis venu à elle de nombreuses fois pour lui dire d'arrêter ce qu'elle faisait mais à plusieurs reprises, elle trouvait des raisons et disait que ce qu'elle faisait était trop petit et elle attribuait mes avertissements à ses propres sentiments de culpabilité. Il fut un temps où elle a arrêté son jeu mais elle s'est convaincue que les avertissements n'étaient pas de Moi mais sa propre voix parce qu'elle croyait que son péché était trop insignifiant pour affliger le Saint-Esprit ». Je demandais encore au Seigneur de me dire le péché que cette femme avait commis et Il me répondît ceci: « Cette femme avait un ami infirmier à l'hôpital Oshakati. A chaque fois que cette femme était malade, elle ne voulait pas payer le prix normal de soins; elle téléphonait à son ami pour lui demander de s'occuper des médicaments pour elle. Son ami lui disait toujours quel moment était idéal pour aller au dispensaire de l'hôpital. Au début, elle a accepté le mensonge du diable sur les grands et les petits péchés et a rejeté ma vérité; elle a ainsi emmené quelqu'un d'autre à pécher en volant pour elle. Le pire de tout, ELLE A AFFLIGE LE SAINT-ESPRIT.
 
C'est la raison pour laquelle elle se retrouve, ici, en enfer. Même si vous emmener des millions d'âmes au Seigneur, c'est toujours possible d'aller en enfer en affligeant et en décourageant le Saint-Esprit. Vous ne devez pas seulement vous occuper du salut des âmes mais vous devez aussi être prudent de ne pas oublier votre propre âme. Soyez sensibles au Saint-Esprit en tout temps. » Après que le Seigneur ait dit ces paroles, Il m'informa que nous devions rentrer. Plusieurs des chrétiens qui ont entendu cette histoire, la trouvent problématique. Ils me demandent toujours, « Qu'en est-il de la justification, la miséricorde et la grâce?» et «est-il possible de perdre ton salut après que tu l'aies reçu?» «Ceci n'est-il pas trop sévère?» « Dieu peut-il être cruel ? » Ok, j'ai dit quelque part ailleurs dans ce livre que je ne présente pas ma propre théologie. Je vous parle juste des choses que le Seigneur m'a révélées et enseignées et ce qu'il m'a permise d'expérimenter. Référez-vous, s'il vous plait, à la bible pour trouver des réponses.
 
Regardez aux versets suivants de la bible et faites-en votre propre jugement: « Mais je traite durement mon corps et je le tiens assujetti, de peur d'être moi-même rejeté, après avoir prêché aux autres. » (1 Corinthiens 9.25). « Que dirons-nous donc?
Demeurerions-nous dans le péché, afin que la grâce abonde?
Loin de là! Nous qui sommes morts au péché, comment vivrions-nous encore dans le péché ? » (Romains 6. 1-2). « Que le péché ne règne donc point dans votre corps mortel, et n'obéissez pas à ses convoitises. » (Romains 6.12). « Car, si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, Mais une attente terrible du jugement et l'ardeur d'un feu qui dévorera les rebelles. » (Hébreux 9.26-27).
M'est-il possible d'aller en enfer après avoir servi le Seigneur et emmener plusieurs personnes au Seigneur?
C'est à vous de juger. La désobéissance Le Lundi 6 mars 2006, je fus réveillée par mon réveil-matin, à 05 H 30. Je commençais à prier et là, je réalisais qu'il y avait une énorme onction sur moi. Mon corps était très faible et je tremblais ; des vagues d'électricité circulaient autour de mon corps. Dans l'après-midi, alors que j'étais couché sur mon lit, je vis une lumière brillante remplir la chambre. Je vis de minuscules perles rondes et blanches qui avaient la taille d'une épingle. Les perles tombèrent comme de la pluie et descendirent sur moi comme pour avoir un contact avec moi au travers de ma peau. En plus, je vis un nuage ou quelque chose ressemblant à de la buée blanche, venir d'en haut. Cette sorte de buée remplit la chambre où j'étais et vint se coller sur ma peau, au premier contact. Par la suite, je vis Jésus marchant vers moi dans ce nuage de buée. Il s'assit sur sa chaise à côté de mon lit. Je ne sais d'où venait cette chaise mais elle apparaissait dès qu'Il était sur le point de s'asseoir. C'était une magnifique chaise faite d'or pur; la taille de cette chaise est semblable aux autres chaises, avec un support dorsal. Sur chaque pied, il y avait une étoile en argent. Une étoile similaire mais plus large était située au dos de la chaise.
Il y avait une roue sur chaque pied. Jésus me salua et me serra dans ses mains et me dit de me lever parce que le temps passait très, très vite. Il me tira par la main pour m'aider à me lever et je m'assis sur mon lit. Ensuite, Il me dit: «Victoria, nous allons prier». Il pria dans une langue que je ne comprenais pas, je compris seulement le mot ''Amen''.
Ensuite, Il continua en me demandant ce que je voyais et je Lui répondis que je voyais des groupes de personnes qui partaient travailler et d'autres qui venaient juste d'arriver à leur lieu de travail. Je vis aussi des perles blanches similaires à celles que j'avais vues. Ces perles tombèrent sur ceux qui étaient arrivés en premier au lieu de travail. Après le premier groupe, l'autre groupe arriva plus tard. Pendant qu'ils arrivaient, la pluie de perles avait cessé de tomber. Je vis aussi d'autres groupes de personnes aller dans différentes églises, le dimanche matin. La pluie de perles blanches tombait d'abord sur les premiers arrivants. Elle continuait de tomber pendant un certain temps, ensuite, elle s'arrêtât. Les retardataires ne trouvèrent rien.
Le seigneur Jésus me demanda si je comprenais ce que ces visions signifiaient et je Lui répondis que non. Alors, Il m'expliqua la vision en disant: «Ces visions signifient que là où vous êtes supposés être à un temps spécifique et que vous savez à quelle heure y être, il y a toujours des anges présents pour distribuer des bénédictions mais si vous êtes en retard, vous manquerez votre bénédiction de la journée car les anges ne distribuent ces bénédictions que pour ce temps spécifique. Victoria, je veux t'avertir parce que tu es souvent en retard au travail et toujours en retard à l'église. Tu dois savoir que ces jours où tu étais en retard sans raisons valables, tu as raté mes bénédictions pour toujours pour ces jours-là ; elles ne te reviendront jamais.
Victoria, tu dois arrêter cette habitude et ne plus jamais être en retard à moins d'avoir une raison valable de l'être.» Quand le Seigneur me dis ces choses, je voulais disparaître ou bien Lui donner quelques raisons et excuses acceptables pour justifier mon indiscipline. Je Lui dis que quelquefois, je dormais un peu trop mais Il me regarda droit dans les yeux et me dit que je mentais et que j'avais une mauvaise tendance à retourner au lit après m'être réveillée afin de succomber à mon désir de dormir pour ''quelques minutes de plus''. Après que Jésus m'eut avertie, Il dit: «Levons-nous et partons. Le temps passe très, très vite et il y a des choses que nous devons faire.» Cette fois-ci, le Seigneur m'emmena à un endroit où je n'ai jamais été avant; c'était aussi la première fois que nous prenions la route pour marcher. Nous sommes arrivés dans un jardin rempli de belles fleurs et de beaux arbres verts: rien sur la terre n'est comparable à cette beauté. Les fleurs étaient de toutes sortes de beautés, avec des couleurs vives. Nous nous sommes assis sur un banc public du jardin qui était fait d'or pur avec de petites étoiles brillantes faites d'argent.
 
Lorsque nous nous sommes assis, Il pointa son doigt au devant de nous et dit : «Victoria, regarde, vois-tu cette ville? Je regardais et je vis une très grande ville très illuminée. C'était d'une beauté bien au-delà de toute description. La ville a une porte brillante en or et à l'entrée de cette porte se tenait un homme, assis, qui était d'un âge très avancé. Il avait une longue barbe blanche et des cheveux blancs. J'avais vu cet homme plus tôt et quand je demandais à Jésus qui était cet homme, Il me dit que c'était Abraham, le père de la foi. Je vis plusieurs routes dans cette ville qui sont pavées d'or. Il y a de grands buildings et ils sont aussi brillants que de l'or. La brillance et l'éclat de cette ville sont indescriptibles. Le Seigneur Jésus se tourna vers moi et me demanda: «Que penses-tu de cette ville?». Je Lui répondis que c'était une belle ville et que je voulais y aller.
Alors Il me dit: «Je vais t'y emmener si tu continues d'être obéissante et parce que ta maison y sera aussi. Demeure obéissante - parce que si tu es désobéissante, Victoria, des corbeaux voleront au-dessus de ta maison. Ta maison va être une maison pour hiboux et une cour de récréation pour les fantômes.
 
Cependant, ne crains rien car je suis avec toi. Obéis seulement. Car pour quiconque est désobéissant, sa maison aura des corbeaux qui y voleront; elle deviendra la maison des hiboux et une cour de récréation pour les fantômes.» Le seigneur Jésus-Christ est réel et Il nous aime d'un amour que nous ne pouvons décrire. Son plus grand désir est que nous choisissions la vie et que nous passions l'éternité avec Lui. Son coeur est dans la douleur pour toutes les personnes qui meurent et vont en enfer parce qu'elles ont décidé de rejeter le salut qu'Il leur a offert et ont choisi la mort à la place. Que vous soyez un(e) chrétien(ne) né(e) de nouveau ou non, rappelez-vous, je vous en prie, une chose: Le temps passe très, très vite !
Victoria Nehale

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